jeudi 11 février 2010

Le jeudi c'est le buzz : le meilleur job du monde !



Il y a un an maintenant, le buzz avait été crée autour du meilleur job du monde. Rappelez-vous, l'état du Queensland en Australie proposait un CDD de 6mois rémunéré à hauteur de 105 000 dollars. Cerise sur la gâteau, le salarié en question a pour mission de profiter des décors paradisiaque de l'île d'Hamilton. On connaissait tous les difficultés du métier de gardien de phare, en Australie le poste de gardien d'île semble tout de suite un peu plus funky. La seule obligation assignée au sélectionné est de tenir un blog sur ses activités quotidiennes tout en faisant la promotion de l'île. Car c'est bien là la finalité de la chose : soutenir l'industrie touristique de l'Etat du Queensland en proie à quelques difficulté. Derrière le job idéal se cache en réalité une stratégie de communication bien ficelée et couronnée de succès pour cette information a été largement relayée dans les journaux du monde entier !


A noter que Ben Southall, le sélectionné, a fait moins le malin lorsqu'au cours d'une promenade en jetski il a subit les assauts une méduse dont la piqûre peut s'avérer mortelle. Que la ménagère se rassure, la méduse, le jetski et Ben se portent bien. La faune locale n'a peut-être, elle, pas apprécié l'opération.


Quelques mois plus tard, au printemps 2009, est proposé "le deuxième meilleur job du monde" par un producteur de vin en Californie. L'heureux élu aura alors pour mission de goûter des vins et de faire part de ses impressions sur un blog.
Il n'en faut pas beaucoup plus, une tendance est née.


La dernière opération en date a été remportée par une fashionista française (gagnante parmi près de 10 000 participantes). Elle aura pour lourdre tâche de faire du shopping dans toutes les grandes capitales du monde (NY, Hong-Kong, Paris, Berlin, Londres...) et de dénicher des bonnes affaires. L'opération se banalise puisque le recruteur le site Letsbuyit.com avait simplement publié l'offre sur le moteur de rechercher Monster entre un chargée de communication et un tourneur-fraiseur.


Il semble qu'en temps de crise, avec les difficultés que connait le marché de l'emploi, la formule "job de rêve" assure le buzz.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire